La nuit où la fleur a fané

 

Quelques heures avant son exécution un condamné à mort demande à rencontrer son bourreau.  Une pièce à l’écriture ciselée et percutante sur l’humanité, sur la mort et sur le désespoir d’un homme, qui, dès l’adolescence qui n’aura pas réussit  à trouver sa place dans la société. La pièce permet aussi de s’interroger sur la présomption de culpabilité. 

Dessin François Schmidt

Une première lecture a été organisée par la metteure en scène Sara Veyron, avec Jean-Luc Debattice et Laurent Deve suivie d’un échange avec l’auteur Georges de Cagliari, à la Maison des auteurs de la SACD.